Adepte des histoires mises en musique (Jean de la Grive, les Domestiques du Comte Hasard, Dernières nouvelles des Volcans, Dernières nouvelles du diable, la Bête à sept têtes), après qu’il a déjà écrit ou co-écrit de nombreux spectacles et tout en respectant l’usage de l’indicatif après « après que », Clément explore(…)
Adepte des histoires mises en musique (Jean de la Grive, les Domestiques du Comte Hasard, Dernières nouvelles des Volcans, Dernières nouvelles du diable, la Bête à sept têtes), après qu’il a déjà écrit ou co-écrit de nombreux spectacles et tout en respectant l’usage de l’indicatif après « après que », Clément explore cette fois-ci les tribulations de deux sœurs, « dont la plus grande est surnommée « la Grande » à cause qu’elle est vraiment très grande. »
Si toutes les situations ne valent pas un récit, elles méritent bien une chanson, et inversement.
Les deux protagonistes du Livradois et à la personnalité sympathique iront à la rencontre pêle-mêle et sens dessus dessous d’un glottochronologue, de leur voisine Denise et son chien Eponyme (c’est le nom du chien), d’une mystérieuse créature nébuleuse et autres personnages à la syntaxe approximative… Le tout mis en musique avec des instruments qu’il a sous la main ou dans la bouche, sauf quand il parle à cause qu’on peut pas parler quand on souffle dans une clarinette basse.
ÉQUIPE :
Composition, textes, récit, clarinette basse, lithophone, senza et autres objets | Clément Gibert
Regard dramaturgique | Jean Luc Guitton
Lumière | Manon Péchoultres
PRODUCTION : L’Excentrale
Inscriptions limitées et gratuites en ligne.