Festival D440 : La Contrebasse

La contrebasse, c’est comme un gros violon, mais en plus gros. Voilà un des problèmes que rencontre le personnage du roman de Patrick Süskind “La Contrebasse”. Cette contrebassiste trentenaire présente son instrument, raconte son histoire, son rôle dans l’orchestre… Surtout, elle évoque sa relation ambigüe avec ledit instrument, qui n’est(…)

La contrebasse, c’est comme un gros violon, mais en plus gros. Voilà un des problèmes que rencontre le personnage du roman de Patrick Süskind “La Contrebasse”. Cette contrebassiste trentenaire présente son instrument, raconte son histoire, son rôle dans l’orchestre… Surtout, elle évoque sa relation ambigüe avec ledit instrument, qui n’est pas sans rappeler l’amour fantasmatique qu’elle avoue porter à un jeune ténor, Ludovic. Pour interpréter l’adaptation de ce seul en scène, deux personnes ne seront pas de trop : une comédienne, et une contrebassiste ; et pour compléter le duo… la fameuse contrebasse !

Artistes :
– Cordes : Iris de Plaisance-Godey et Lucile Courtalin, Contrebasses
– Théâtre : Iris de Plaisance-Godey et Lucile Courtalin, Comédiennes

D440 Festival – Le projet
Le D440 Festival, jeune équipe d’artistes à la passion mordante et à l’énergie contagieuse, s’est donné pour mission d’aller diffuser là où on ne l’attend pas, au cœur de l’Auvergne, une musique dont on ne compte plus les mois d’affinage.
Le D440 Festival c’est avant tout l’envie de voir la musique classique comme source de découverte, de partage et d’épanouissement. Pour cela, la médiation est placée au cœur du projet. La rencontre entre le public et la musique est d’abord aménagée de sorte qu’aucune barrière sociale ou culturelle ne puisse gêner l’accès aux œuvres.
Le D440 est un festival en mouvement : les concerts s’adaptent et mettent en valeur le patrimoine naturel et culturel local. Le festival décloisonne la musique classique en la sortant des grandes salles de concert pour l’amener à tous, en public et en plein air. Des places de villages et lieux naturels en extérieurs, jusqu’aux églises romanes auvergnates chargées d’histoire : nous faisons prendre l’air au classique !